En effet, pour être recruter et performer en entreprise, les compétences techniques (« Hard-Skills ») ne suffisent plus. Les salariés seront attendus sur d’autres qualités : empathie, créativité, gestion du stress, intelligence émotionnelle…
On parle notamment de compétences comportementales, transversales et humaines. Dans un contexte de digitalisation, l’humain occupe une place centrale. Les entreprises misent sur des logiques de complémentarité afin de générer des gains de productivité, et c’est notamment le cas dans le domaine des ressources humaines.
Ainsi, on constate que les recrutements ne sont pas uniquement réalisés autour du prisme du diplôme. Si une recrue dispose de toutes les compétences techniques requises au métier de juriste (connaissance du droit etc.), mais ne sait pas s’organiser ou gérer son stress, l’importance d’une bonne recrue ne sera pas portée vers cette personne.
C’est dans ces conditions que les professionnels des ressources humaines sont très attentifs et fondent leurs décisions de recrutement selon l’appréciation de ces soft-skills.